Profil d'anciens

Penny Werthner

Supposons que le domaine des sciences de l’activité physique et de la psychologie du sport soit un champ de bataille, les chercheurs d’un côté et l’ignorance de l’autre. Alors Penny Werthner serait le général Patton.

 

Dans certains milieux, comme la communauté olympique canadienne par exemple, le nom Penny Werthner suscite énormément de respect et d’admiration. Supposons que le domaine des sciences de l’activité physique et de la psychologie du sport soit un champ de bataille, les chercheurs d’un côté et l’ignorance de l’autre. Alors Penny Werthner serait le général Patton. L’affrontement n’est pas prêt de finir, mais les chercheurs gagnent chaque jour du terrain.

En 1971, Penny remporte la médaille de bronze au 800 mètres course aux Jeux panaméricains. Elle inscrit un record mondial au 1000 mètres sprint intérieur, et affirme humblement que ce n’est rien. Étrangement, pour la plupart des athlètes, les compétitions intérieures ne comptent pas. En 1976, Penny se classe 9e au monde au 1500 mètres femmes, terminant l’épreuve en un peu plus de quatre minutes. Mais ces premiers Jeux olympiques ne sont qu’un réchauffement pour elle; elle remporte une autre médaille de bronze aux Jeux du Commonwealth de 1978 et gagne le 1500 mètres aux Jeux panaméricains de 1979. Ces victoires devaient être un prélude grandiose aux prochains Jeux olympiques.

Malheureusement, la politique vient briser son élan : les États-Unis et 64 autres pays — le Canada compris — boycottent les XXIIes Olympiades, à Moscou, pour protester contre l’invasion de l’Afghanistan par l’Union soviétique. Dommage que les athlètes doivent faire les frais de ces conflits. Penny a l’impression qu’on lui a coupé les ailes... C’est la fin de sa carrière d’athlète. Elle doit maintenant décider, et rapidement, ce qu’elle va faire du reste de sa vie.
 
Obéissant peut-être à la même force de persévérance qui l’a propulsée pendant toute une vie d’entraînement, Penny choisit d’entreprendre des études en psychologie du sport.

Depuis 1986, elle est consultante dans ce domaine auprès de nombreuses équipes olympiques et nationales canadiennes pour la plupart des Jeux olympiques d’hiver et d’été, et membre de plusieurs organismes, dont l’Association canadienne de la psychologie du sport. La position de Penny est tout à fait exceptionnelle au Canada. Elle est sur la ligne de front dans son domaine, étudiant d’un oeil critique la relation de cause à effet dans les performances de nos athlètes canadiens pour les aider à donner le meilleur d’eux mêmes. Or son observation ne se limite pas au strict plan physique, elle s’attache aussi à l’aspect psychologique. La plupart des athlètes connaissent mal la psychologie du sport. Mais grâce à Penny et à des spécialistes comme elle, ils commencent à comprendre que les résultats spectaculaires ne découlent pas seulement de l’entraînement du corps, mais également de celui de l’esprit.

Penny se considère chanceuse que l’Université d’Ottawa lui ait permis de faire carrière en sciences de l’activité physique, un domaine qu’elle adore et où elle est entourée de personnes qu’elle respecte et qu’elle admire. Des gens comme les professeurs Terry Orlick et Pierre Trudel, les deux personnes qui l’ont attirée à l’Université d’Ottawa comme étudiante. Oui, c’est vrai, elle a eu de la chance, mais la chance n’a rien à voir avec son embauche comme professeure associée. Ça, c’est à elle même qu’elle le doit.

C’est le nom de Penny Werther que les athlètes de partout au Canada recherchent pour accroître leurs résultats olympiques. Et c’est aussi un nom qui figure sur la liste d’envoi des anciens de l’Université d’Ottawa, pour permettre à Penny de profiter d’offres promotionnelles et de rabais intéressants. Et vous, voulez vous que votre nom travaille pour vous?

Dans certains milieux, comme la communauté olympique canadienne par exemple, le nom Penny Werthner suscite énormément de respect et d’admiration. Supposons que le domaine des sciences de l’activité physique et de la psychologie du sport soit un champ de bataille, les chercheurs d’un côté et l’ignorance de l’autre. Alors Penny Werthner serait le général Patton. L’affrontement n’est pas prêt de finir, mais les chercheurs gagnent chaque jour du terrain.
 
En 1971, Penny remporte la médaille de bronze au 800 mètres course aux Jeux panaméricains. Elle inscrit un record mondial au 1000 mètres sprint intérieur, et affirme humblement que ce n’est rien. Étrangement, pour la plupart des athlètes, les compétitions intérieures ne comptent pas. En 1976, Penny se classe 9e au monde au 1500 mètres femmes, terminant l’épreuve en un peu plus de quatre minutes. Mais ces premiers Jeux olympiques ne sont qu’un réchauffement pour elle; elle remporte une autre médaille de bronze aux Jeux du Commonwealth de 1978 et gagne le 1500 mètres aux Jeux panaméricains de 1979. Ces victoires devaient être un prélude grandiose aux prochains Jeux olympiques. 
 
Malheureusement, la politique vient briser son élan : les États-Unis et 64 autres pays — le Canada compris — boycottent les XXIIes Olympiades, à Moscou, pour protester contre l’invasion de l’Afghanistan par l’Union soviétique. Dommage que les athlètes doivent faire les frais de ces conflits. Penny a l’impression qu’on lui a coupé les ailes... C’est la fin de sa carrière d’athlète. Elle doit maintenant décider, et rapidement, ce qu’elle va faire du reste de sa vie.
 
Obéissant peut-être à la même force de persévérance qui l’a propulsée pendant toute une vie d’entraînement, Penny choisit d’entreprendre des études en psychologie du sport. 
 
Depuis 1986, elle est consultante dans ce domaine auprès de nombreuses équipes olympiques et nationales canadiennes pour la plupart des Jeux olympiques d’hiver et d’été, et membre de plusieurs organismes, dont l’Association canadienne de la psychologie du sport. La position de Penny est tout à fait exceptionnelle au Canada. Elle est sur la ligne de front dans son domaine, étudiant d’un oeil critique la relation de cause à effet dans les performances de nos athlètes canadiens pour les aider à donner le meilleur d’eux‑mêmes. Or son observation ne se limite pas au strict plan physique, elle s’attache aussi à l’aspect psychologique. La plupart des athlètes connaissent mal la psychologie du sport. Mais grâce à Penny et à des spécialistes comme elle, ils commencent à comprendre que les résultats spectaculaires ne découlent pas seulement de l’entraînement du corps, mais également de celui de l’esprit. 
 
Penny se considère chanceuse que l’Université d’Ottawa lui ait permis de faire carrière en sciences de l’activité physique, un domaine qu’elle adore et où elle est entourée de personnes qu’elle respecte et qu’elle admire. Des gens comme les professeurs Terry Orlick et Pierre Trudel, les deux personnes qui l’ont attirée à l’Université d’Ottawa comme étudiante. Oui, c’est vrai, elle a eu de la chance, mais la chance n’a rien à voir avec son embauche comme professeure associée. Ça, c’est à elle‑même qu’elle le doit.
 

C’est le nom de Penny Werther que les athlètes de partout au Canada recherchent pour accroître leurs résultats olympiques. Et c’est aussi un nom qui figure sur la liste d’envoi des anciens de l’Université d’Ottawa, pour permettre à Penny de profiter d’offres promotionnelles et de rabais intéressants. Et vous, voulez‑vous que votre nom travaille pour vous?

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